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7 janvier 2025
La cinquième maladie une infection virale courante chez les enfants, suscite souvent une vive inquiétude chez les parents lorsqu’ils découvrent les premiers signes sur le visage de leur enfant.
En effet, bien que généralement bénigne, cette maladie peut se manifester par des symptômes déroutants qui évoluent en plusieurs phases distinctes. Les « joues giflées » caractéristiques, suivies d’une éruption en dentelle, amènent de nombreux parents à chercher des réponses fiables.
Ce guide complet vous accompagne à travers chaque étape de la maladie, notamment la reconnaissance des symptômes, la gestion quotidienne, et les situations nécessitant une attention médicale particulière. Ainsi, vous disposerez de toutes les informations essentielles pour prendre soin de votre enfant en toute confiance.
Reconnaître les premiers signes de la cinquième maladie
Reconnaître rapidement les signes de la cinquième maladie permet d’agir au mieux pour le confort de votre enfant. Cette infection causée par le parvovirus B19 évolue par phases distinctes qu’il est important de savoir identifier.
Les symptômes initiaux facilement confondus
Le début de la cinquième maladie passe souvent inaperçu car ses premiers symptômes ressemblent fortement à ceux d’un simple rhume ou d’une légère grippe. Après une période d’incubation de 4 à 14 jours, votre enfant pourrait présenter :
- Une fièvre légère (jusqu’à 38,9°C) [1]
- Des maux de tête et une sensation de fatigue
- Un nez bouché ou qui coule
- De légères douleurs musculaires
- Parfois des nausées ou de la diarrhée [1]
Ces symptômes peu spécifiques expliquent pourquoi la maladie est fréquemment confondue avec d’autres infections respiratoires bénignes. D’ailleurs, certains enfants ne présentent aucun symptôme ou seulement des manifestations très légères [2]. Cette phase initiale dure généralement quelques jours, pendant laquelle l’enfant est déjà contagieux, avant même l’apparition des signes caractéristiques.
L’apparition des joues rouges caractéristiques
Le signe le plus distinctif arrive généralement 7 à 10 jours après le début de l’infection [3]. Une rougeur intense et bien délimitée apparaît soudainement sur les joues de l’enfant, créant ce qu’on appelle communément le « signe de la gifle » ou des « joues giflées ». Ce rouge vif donne l’impression que l’enfant a été giflé ou qu’il rentre tout juste d’une exposition au froid hivernal.
Cette caractéristique est particulièrement importante pour le diagnostic, car elle permet souvent de différencier la cinquième maladie des autres éruptions infantiles [4]. Le visage peut paraître chaud et brillant, mais généralement sans démangeaisons à ce stade. Par ailleurs, c’est précisément lorsque cette éruption faciale devient visible que l’enfant cesse d’être contagieux.
L’éruption en dentelle : à quoi s’attendre
Environ 3 à 4 jours après l’apparition des joues rouges, une seconde éruption cutanée se développe [4]. Elle commence généralement sur le tronc et s’étend ensuite symétriquement vers les bras, les jambes, les fesses et les cuisses, épargnant habituellement les paumes des mains et les plantes des pieds [5].
Cette éruption est tout à fait caractéristique : elle forme des plaques roses ou rouges avec un centre plus clair, créant un motif réticulé souvent décrit comme une « dentelle » ou une « carte de géographie » [4]. Contrairement à l’éruption faciale, ces plaques peuvent provoquer des démangeaisons légères chez certains enfants [2].
L’éruption en dentelle dure généralement de 5 à 10 jours avant de s’estomper [5]. Toutefois, pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, elle peut temporairement réapparaître sous l’effet de certains facteurs déclenchants comme :
- L’exposition à la chaleur (après un bain chaud par exemple)
- L’exposition au soleil
- L’activité physique ou l’effort
- Un stress émotionnel
- La fièvre [3]
Ces résurgences, bien que potentiellement inquiétantes pour les parents, sont normales et ne signifient pas une rechute de l’infection. En effet, durant cette période, l’enfant n’est plus contagieux même si l’éruption réapparaît.
Pour finir, il faut noter que l’intensité des symptômes varie considérablement d’un enfant à l’autre. Dans environ 50% des cas, l’infection peut passer totalement inaperçue ou être confondue avec un simple rhume [6], tandis que d’autres enfants présenteront l’ensemble des manifestations caractéristiques.
Évolution jour par jour : calendrier pour les parents
Comprendre le calendrier précis de la cinquième maladie permet aux parents d’anticiper les différentes phases et de mieux gérer cette infection virale. Suivons ensemble l’évolution typique de cette maladie, du premier jour jusqu’à la guérison complète.
Phase 1 : Les symptômes grippaux (jours 1-7)
Tout d’abord, après une période d’incubation variant de 4 à 14 jours, la maladie débute par des symptômes discrets et non spécifiques. Votre enfant présentera probablement un état pseudo-grippal avec une légère fièvre pouvant atteindre 38,9°C, des maux de tête, une sensation de fatigue générale et parfois des douleurs musculaires. Le nez qui coule et une légère toux peuvent également apparaître, mimant parfaitement un simple rhume.
À ce stade, il est important de noter que jusqu’à 25% des enfants infectés ne présentent aucun symptôme, ce qui complique la détection précoce. Par ailleurs, c’est durant cette première phase que l’enfant est le plus contagieux, alors même que les signes distinctifs de la maladie ne sont pas encore visibles.
Phase 2 : L’éruption faciale (jours 7-10)
Ensuite, environ une semaine après les premiers symptômes grippaux, l’éruption caractéristique fait son apparition sur le visage. Les joues deviennent soudainement très rouges et boursoufflées, créant ce fameux aspect de « joues giflées » avec parfois un halo pâle autour de la rougeur. Cette manifestation cutanée est souvent accompagnée d’une légère pâleur péribuccale (autour de la bouche).
Fait essentiel à retenir : c’est précisément au moment où l’éruption faciale apparaît que votre enfant cesse d’être contagieux. Cette phase dure généralement entre 4 et 5 jours, pendant lesquels les symptômes grippaux commencent progressivement à s’estomper.
Phase 3 : L’éruption corporelle (jours 10-21)
À ce stade, l’éruption s’étend au reste du corps. Des plaques rouges apparaissent de façon symétrique, d’abord sur le tronc, puis sur les bras, les cuisses et parfois même jusqu’aux pieds et aux mains. Cette éruption prend un aspect réticulé très particulier, souvent décrit comme un motif « en dentelle » ou « marbré ».
Cette phase peut durer entre 1 et 3 semaines selon les cas. Les démangeaisons sont présentes dans environ 15% des cas et l’intensité de l’éruption varie considérablement d’un enfant à l’autre. Généralement, les plaques s’estompent progressivement sans laisser de traces ni de cicatrices.
Les rechutes possibles : pourquoi l’éruption peut réapparaître
Un phénomène particulier de la cinquième maladie est la possibilité de voir l’éruption disparaître puis réapparaître pendant les semaines, voire les mois qui suivent. Ces « rechutes » sont déclenchées par plusieurs facteurs :
- L’exposition à la chaleur (bain chaud, friction)
- L’exposition au soleil
- L’exercice physique
- Un stress émotionnel
- La fièvre
Ces réapparitions, bien que parfois inquiétantes pour les parents, sont tout à fait normales et ne signifient pas que l’infection est toujours active ou que votre enfant est à nouveau contagieux. En effet, il s’agit simplement d’une réaction cutanée temporaire qui peut persister plusieurs semaines après l’infection initiale.
La guérison complète intervient généralement en 2 à 4 semaines, mais certains cas peuvent s’étendre jusqu’à 5 semaines. Par la suite, votre enfant sera immunisé à vie contre cette maladie.
Prendre soin de votre enfant au quotidien
Lorsque votre enfant est atteint de la cinquième maladie, plusieurs mesures simples peuvent l’aider à se sentir mieux pendant sa convalescence. Bien que cette infection virale se résolve généralement d’elle-même, certaines interventions quotidiennes améliorent considérablement son confort et accélèrent sa récupération.
Soulager les démangeaisons et l’inconfort
L’éruption cutanée caractéristique de la cinquième maladie peut parfois provoquer des démangeaisons désagréables. Pour atténuer cet inconfort :
- Appliquez des compresses fraîches sur la peau de votre enfant pour calmer les irritations [1]
- Privilégiez des vêtements amples et confortables qui ne frottent pas contre l’éruption cutanée [1]
- Coupez les ongles de votre enfant très courts pour éviter qu’il ne se gratte et n’aggrave ses lésions [7]
- Limitez au maximum les expositions au soleil pendant toute la durée de la maladie [7]
En cas de démangeaisons intenses, un antihistaminique (comme le ClaritinMD) peut être administré après avis médical [2]. Pour les irritations localisées, votre médecin pourrait également recommander une pommade ou une crème apaisante [8].
Gérer la fièvre et les douleurs
La cinquième maladie s’accompagne souvent d’une fièvre pouvant atteindre 39°C, ainsi que de maux de tête et parfois de douleurs articulaires [7]. Pour soulager ces symptômes :
Tout d’abord, favorisez un environnement propice au repos. Installez votre enfant dans une pièce fraîche et bien aérée, idéalement entre 18 et 20°C [9]. Évitez de trop le couvrir tout en veillant à ce qu’il ne grelotte pas.
Pour réduire la fièvre et soulager la douleur, le paracétamol est généralement le médicament de premier choix [4]. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) comme l’ibuprofène peuvent également être utilisés chez les enfants de plus de 6 mois, mais uniquement après avis médical [2][10]. Par ailleurs, n’administrez jamais d’acide acétylsalicylique (AAS), comme l’Aspirineᴹᴰ, à un enfant ou un adolescent [2].
En effet, l’utilisation des AINS, si nécessaire, doit être la plus courte possible (moins de 3 jours en cas de fièvre), à dose minimale et toujours après consultation de votre médecin [9].
Adapter l’alimentation et l’hydratation
L’hydratation constitue un aspect essentiel des soins quotidiens lors de la cinquième maladie, particulièrement en présence de fièvre. Une bonne hydratation contribue au bien-être général et aide l’organisme à combattre l’infection.
Ainsi, proposez fréquemment à boire à votre enfant, même s’il ne vous le demande pas. Privilégiez :
Pour les très jeunes enfants qui ne peuvent pas exprimer leur soif, cette vigilance est d’autant plus importante pour éviter la déshydratation [9]. Ne limitez pas la prise de boissons et offrez-en régulièrement tout au long de la journée.
En complément, encouragez votre enfant à se reposer suffisamment [6][1]. Le repos, combiné à une bonne hydratation, permet au système immunitaire de fonctionner optimalement pour combattre l’infection [11].
Néanmoins, restez attentif à l’évolution des symptômes. Consultez rapidement un médecin si votre enfant :
- Se sent de plus en plus mal
- Boit nettement moins que d’habitude (moins de la moitié)
- Vomit fréquemment
- Présente une somnolence inhabituelle
- Montre des signes de détresse respiratoire
- Pleure ou gémit beaucoup
- A la peau anormalement pâle ou grise [8]
En respectant ces mesures simples, vous aiderez efficacement votre enfant à traverser cette période d’infection tout en minimisant son inconfort. Ces soins quotidiens, associés à une surveillance attentive, constituent la base d’une prise en charge adaptée de la cinquième maladie.
Naviguer les questions sociales et scolaires
Face à un diagnostic de cinquième maladie, de nombreux parents s’interrogent sur la gestion sociale et scolaire de cette situation. Voici des conseils pratiques pour naviguer cette période avec sérénité.
Quand garder votre enfant à la maison
Contrairement à de nombreuses maladies infantiles, la cinquième maladie présente une particularité importante : l’enfant n’est généralement plus contagieux une fois l’éruption cutanée apparue. En effet, la contagiosité est maximale pendant la période d’incubation et lors des symptômes grippaux initiaux, avant même que vous ne sachiez que votre enfant est atteint de la cinquième maladie.
Par conséquent, il est généralement inutile de garder votre enfant à la maison lorsque les rougeurs caractéristiques apparaissent sur ses joues. Il peut retourner à l’école ou à la crèche dès qu’il se sent suffisamment en forme pour participer aux activités habituelles, même si l’éruption est encore visible.
Toutefois, si votre enfant présente encore de la fièvre ou un état de fatigue important, un repos à la maison reste préférable, indépendamment de la contagiosité.
Communiquer avec l’école ou la crèche
Lorsque votre enfant a reçu un diagnostic de cinquième maladie, informez rapidement l’établissement scolaire ou la structure d’accueil. Cette démarche est essentielle pour plusieurs raisons :
- Elle permet à l’établissement d’informer les autres parents, particulièrement les femmes enceintes qui pourraient être à risque
- Les responsables peuvent surveiller l’apparition d’autres cas, car la maladie se propage souvent par petites épidémies dans les collectivités
- L’équipe éducative peut être plus attentive aux besoins spécifiques de votre enfant durant sa convalescence
Expliquez clairement que votre enfant n’est plus contagieux une fois l’éruption visible, information parfois méconnue même des professionnels.
Gérer les inquiétudes des autres parents
L’annonce d’un cas de cinquième maladie dans une collectivité suscite parfois des inquiétudes, notamment chez les parents d’enfants fragiles ou les femmes enceintes. Pour apaiser ces craintes :
- Partagez des informations fiables sur la maladie, en précisant qu’elle est généralement bénigne chez les enfants en bonne santé
- Rappelez que l’éviction scolaire n’est pas nécessaire lorsque les symptômes sont visibles
- Encouragez les mesures d’hygiène préventives comme le lavage régulier des mains et l’utilisation de mouchoirs jetables
Par ailleurs, si vous savez qu’une femme enceinte a été en contact avec votre enfant pendant sa phase contagieuse, il est recommandé de l’en informer afin qu’elle puisse consulter son médecin traitant pour évaluer les risques.
Situations particulières nécessitant une vigilance accrue
Bien que généralement bénigne chez la plupart des enfants, la cinquième maladie peut présenter des risques significatifs dans certaines situations spécifiques qui méritent une attention particulière.
Femmes enceintes : comprendre et gérer les risques
Si une femme enceinte non immunisée contracte la cinquième maladie, le virus peut traverser le placenta et infecter le fœtus. Le risque de transmission au fœtus se situe entre 17% et 33% [12]. Les complications possibles incluent l’anémie fœtale sévère, l’hydrops fœtal (accumulation de liquide) et, dans les cas graves, la mort in utero.
Le risque de mort fœtale est d’environ 2% à 6% après une infection maternelle, avec un risque plus élevé durant la première moitié de la grossesse [5]. En effet, les complications sont particulièrement préoccupantes avant la 20e semaine de grossesse [13].
Cependant, près de la moitié des femmes enceintes sont déjà immunisées par une infection antérieure [5]. En cas d’exposition, une consultation médicale rapide permet d’évaluer l’immunité et d’organiser une surveillance échographique adaptée.
Enfants avec anémie ou déficit immunitaire
Les enfants souffrant d’anémie chronique, notamment la drépanocytose ou la thalassémie, présentent un risque accru de complications. Le parvovirus B19 peut affecter la moelle osseuse et provoquer une anémie aiguë érythroblastopénique caractérisée par une chute brutale de la production des globules rouges [11].
Par ailleurs, les enfants immunodéprimés peuvent développer une virémie prolongée durant des semaines ou des mois, entraînant une anémie sévère appelée « aplasie érythrocytaire pure » [5]. Une surveillance médicale étroite est donc essentielle pour ces patients.
Quand consulter immédiatement un médecin
Une consultation médicale urgente s’impose dans les situations suivantes :
- Pâleur intense, respiration rapide, fatigue extrême ou malaise suggérant une anémie brutale [14]
- Pour une femme enceinte présentant des symptômes d’infection et une diminution des mouvements fœtaux [14]
- Fièvre persistante au-delà de 2-3 jours [6]
- Douleurs articulaires importantes ou symptômes inhabituels [14]
- Enfant somnolent, excessivement fatigué ou présentant des signes de détresse [14]
Dans ces situations complexes, le médecin pourra prescrire des tests sanguins pour confirmer le diagnostic et évaluer la gravité de l’infection.
Conclusion
La cinquième maladie, malgré son apparence parfois inquiétante, reste une infection virale qui guérit spontanément dans la majorité des cas. Néanmoins, une bonne compréhension de son évolution permet aux parents d’accompagner efficacement leur enfant pendant cette période.
Les soins quotidiens appropriés, notamment une hydratation suffisante et le soulagement des symptômes inconfortables, constituent la base d’une prise en charge réussie. Cependant, certaines situations particulières, comme la grossesse ou les déficits immunitaires, nécessitent une vigilance accrue et un suivi médical adapté.
Les parents peuvent donc aborder sereinement cette maladie infantile courante, tout en restant attentifs aux signes qui demanderaient une consultation médicale. Cette approche équilibrée entre vigilance et confiance permet d’assurer le bien-être optimal de l’enfant pendant sa convalescence.
Références
[1] – https://www.medecindirect.fr/maladies/la-cinquieme-maladie-lerytheme-infectieux-causes-symptomes-et-traitements
[2] – https://naitreetgrandir.com/fr/sante/naitre-grandir-sante-enfant-erytheme-infectieux-5-maladie-parvovirus/
[3] – https://hopitaldemontrealpourenfants.ca/info-sante/comprendre-la-cinquieme-maladie-erytheme-infectieux/
[4] – https://www.sante-sur-le-net.com/sante-enfant/maladies-infantiles/erytheme-infectieux/
[5] – https://www.msdmanuals.com/fr/professional/pédiatrie/infections-virales-fréquentes-chez-le-nourrisson-et-l-enfant/érythème-infectieux-infection-par-le-parvovirus-b19
[6] – https://soinsdenosenfants.cps.ca/handouts/health-conditions-and-treatments/fifth_disease
[7] – https://www.parents.fr/enfant/sante/maladies-frequentes-chez-l-enfant/la-cinquieme-maladie-ou-erytheme-infectieux-une-maladie-frequente-chez-lenfant-433720
[8] – https://www.doktr.be/fr/conseils/la-cinquieme-maladie
[9] – https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/megalerytheme-epidemique/cinquieme-maladie-ou-megalerytheme-epidemique-quel-traitement
[10] – https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/problèmes-de-santé-infantiles/infections-virales-fréquentes-chez-les-nourrissons-et-les-enfants/mégalérythème-épidémique-infection-au-parvovirus-b19
[11] – https://www.elsan.care/fr/pathologie-et-traitement/maladies-generale/megalerytheme-epidemique
[12] – https://www.chuv.ch/fr/dfme/dfme-home/femme-mere/grossesse-accouchement/consultations-dobstetrique/suivi-de-grossesse/le-parvovirus-b19-chez-la-femme-enceinte
[13] – https://naitreetgrandir.com/fr/grossesse/sante-bien-etre/grossesse-maladies-contagieuses-cinquieme-maladie-varicelle-grippe/
[14] – https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/megalerytheme-epidemique/symptomes-et-diagnostic-de-la-cinquieme-maladie